Beh j'ai pas forcément grand-chose à dire sur le fond, mais alors y a quelques fautes quand-même.
La Ville avait une longue histoire. Une histoire qui s'était inscrite dans ses murs. Il y
(') a fort longtemps, tout le monde savait que la ville était vivante, qu'elle possédait sa propre conscience et protégeait ses habitants de certains maux inconnus. Peu de chose
s (ne) nous
sont restées de tout ceci. Des vestiges enfouis dans les pierres et cachés derrière des portes perdues. Pourtant, il existait des jeunes personnes qui semblaient être sensibles à cette histoire. Ces gardiennes possédaient en elle
s sans le savoir une connaissance des rues et des vieilles bâtisses. Elles pouvaient les sentir respirer et parfois même se faire conter leurs mésaventures passées.
Quand elles se promenaient dans les rues de la Ville, il y régnait une atmosphère indicible. Le soleil tombait et allongeait les ombres et dans ce clair-obscur se dessinaient des formes. Parfois elles les touchaient du doigt, elles étaient palpables je vous l'assure ! Une fois c'était une spirale qui serpentait sur le mur, une autre fois une statue qui leur parlait. Cette ville morte recelait bien des secrets. J'en avais de plus en plus la certitude : nous nous tenions au seuil de ce monde invisible.
C'était devenu une obsession. J'avais parcouru un nombre incalculable de livres et d'articles pour tenter de percer le mystère. J'avais parcouru la Ville de long en large pour tenter d'ouvrir un passage. Mais en vain. Les portes me restaient closes. Les gardiennes protégeaient chaque entrée, chaque fissure, chaque symbole qui pourrait permettre de s'approcher ne serait-ce que de quelques pas. Tout ce que je pu obtenir furent ces quelques clichés, témoins de mon échec.
Après plusieurs mois sur cette affaire, je décidai
s finalement de partir de la Ville. Mes dernières recherches m'avaient amené
(s) à la lecture d'un livre très ancien qui
me retint de pousser plus loin mes investigations. Il y était question de forces qui me dépassaient. Je
fis des rêves troublants durant plusieurs jours avant de recevoir un message d'une des gardiennes.
"Certaines portes ne devraient jamais être ouvertes." Le mot était signé d'un trait calligraphié révélant sept lettres d'or : P.A.N.D.O.R.E.
Je pense qu'il y a quelques soucis par rapport aux concordances de temps, mais moi je me mélange faut demander à Fred
T'aurais pas lu du peeters et schuitten par hasard ?